Sinous nous éloignons de la gratitude, nous perdons notre joie. Si nous permettons à quelque chose qui ne nous honore pas (nous ou les autres) de se produire, nous ne sommes pas joyeux. Si cela ne nous inspire / élève / unit / soutient pas, alors cela n’a pas de sens. Si cela ne provient pas de l’amour, alors ce n’est pas réel.
Diriez-vous que la culture travaille à nous rendre plus humain ? Sophie Audigou Philosophie Devoir personnel sur Sigmund Freud 1 Questions 1 . La thèse du texte D’après Slgmund Freud, l’agressivité chez un homme est un pouvoir inné, normal et naturel hostilite primaire h, satisfaire son besoins d’agression n. L’agressivité de Phornme, la conduite de l’homme sera jug Les étapes de son a m L’idée principale dup mier ce qu’il aime défen d’amour L’homme tl_lelleS. ue l’homme protège cœur assoiffée s. Quand il a conquérir une personne en l’occurrence une femme, il est prêt à défendre, pour garder ses trouvailles et se faire respecter des utres. Le deuxième paragraphe est l’expérience des hommes tirés de l’histoire soit collective ou individuelle. L’enseignement de la vie et de l’histoire qui nous présentent le côté mal des hommes exploitation, le viol, vol, Tortures, meurtres. Le troisième paragraphe est en rapport à la société civiliser n’est pas de présent dans ce texte. ? La civilisation en tant d’efforts » se forcer à être normale est difficile. Elle est provisoire, lorsqu’elle tente de canaliser les rapports entre les hommes, les pulsions L’homme n’est point cet être débonnaire, au cœur assoiffé amour, dont on dit qu’il se défend quand on Pattaque » Débonnaire signifie une personne bienveillante, jusqu’à la faiblesse. Donc ici l’homme est loin d’être débonnaire il est plutôt malveillant, jusqu’à à être agressif pour amoureux de la femme. Il a besoins de combler ses pulsions sexuelles. Donc Il serait prêt à se battre si un autre homme si il voudrait conquérir la même femme. L’intérêt du travail solidaire ne suffirait pas à la maintenir » L’homme a besoins d’aide pour survire, car c’est impossible que une seul personne est réponse à tous les questions sans avoir u une aide. C’est pour cela homme doit s’aidé d’autres hommes pour acquières de nouvelles connaissances. Par exemple pour parler une langue il faut que une autre personne lui enseigne cette langue. Sinon il sera incompris de tous. ? De la mobilisation de méthodes incitant les hommes à des identifications et à des relations amour inhibées quand au but, de là cette restriction de la vie sexuelle, de là aussi cet idéal imposée d’aimer son prochain comme sois même » Il serait injuste de reprocher à la civilisation de vouloir exclure d’activité humaine la lutte et la concurrence » La vie serait monotone sans activité humaine on ne pourrait pas crée, trouvée amélioré des choses du quotidiens. De même pour lutter et la concurrence, les prix PAG » OF d trouvée amélioré des choses du quotidiens. De même pour lutter et la concurrence, les prix des biens seront élevé car il y a un accord avec chaque enseigne. Introduction La culture a plusieurs sens soit cultiver le sol ou une plante, ou bien des connaissances acquises ou croitre des micro-organismes génétiques ou culturelle, artistique… ici nous allons aborder a question Diriez-vous que la culture travaille à nous rendre plus umain ? Dans un premier temps, la culture travaille nous rend plus humain, dans un second temps peut nous rendre inhumain l. La culture travaille nous rend plus humain Oui, la culture travaille peut nous rendre plus humain, tous d’abord la différence entre l’homme et l’animal. Des différences gestes du quotidiens son innée chez l’homme. Il sait ce qu’il doit effectuer au travail. Alors que les animaux, il répète les même choses chaque jour. Ils ne pourront pas être éduqués pour fournir un travail identique au notre. Le principal but de l’animal est de ombler leur besoins primaires. Elle renforce notre humanité . Ensemble des êtres humains, considéré parfois comme un être collectif ou une entité morale. La culture a un don de nous rassemblé entre homme. Elle permet d’apaiser les instincts de violence chez l’homme. Cela permet de vivre dans une société seine sans de clan de guerre ou de ne pas avoir reçu d’éducation. Elle nous rend plus huma seine sans de clan de guerre ou de ne pas avoir reçu d’éducation. Elle nous rend plus humain. En exemple, l’enfant sauvage est solitaire car il a grandi sans culture. Il vit à état sauvage comme un animal. Il ne possède pas l’intelligence d’un homme avec une culture, des connaissances dans une langue, être ouvert aux autres… la culture travaille peut aussi rendre inhumain La culture travaille peut rendre inhumain quand on a un postes gradée et dont donne les directives, les subordonnée ne sont pas d’accord avec leur chef ils peuvent montrer leur mécontentement par des grèves des confits sociaux. Revenir a état naturelle de homme donc la guerre de religion st Barthélémy conflits sociaux des déchirements militaires et civils e la noblesse française entre catholiques et protestants. La culture n’était pas forcément synonyme d’humanité les doctrines nazi étaient très cultivés Conclusion Freud, qui avait été frappé par le déchainement de violence qui s’est produit, au niveau mondial, pendant la guerre de 14-18, nous a amené à nous interroger à notre tour sur l’origine de l’agressivité humaine et de ses multiples manifestations, individuelles ou collectives. En définitive, nous pensons que la culture travaille peut être humaine et inhumaine sous un autre sens
Dansun contexte d’automatisation et de robotisation, on estime qu’entre 75 et 375 millions de personnes vont devoir changer de travail d’ici 2030 dans le monde. Elles seront par ailleurs infiniment plus nombreuses à devoir modifier leur manière de travailler, notamment pour y intégrer les robots et l’Intelligence Artificielle : un
Les cerveaux humains ont diminué en taille au cours des 30 000 dernières années, les scientifiques soutiennent que ce n’est pas un signe d’une bêtise grandissante, mais que l’évolution la rendu plus léger et plus efficace. Sa taille moyenne pour l’homme moderne, l’Homo sapiens, a diminué d’environ 10 % pendant cette période, passant de 1500 à 1359 centimètres cubes, correspondant en perte à la taille d’une balle de tennis. Il en est de même pour celui des femmes. Comparatif crânes Homme de à droite, homo sapiens ou homme moderne à gauche Ces mesures ont été prises à l’aide de crânes trouvés en Europe, au Moyen-Orient et en Asie. Certains anthropologues ont noté que le rétrécissement du cerveau n’est pas si surprenant plus fort et plus large nous sommes, plus de substance grise nous avons besoin pour contrôler cette masse plus importante. Le Neandertal, un cousin de l’homme moderne, qui a disparu il y a environ 30 millénaires pour des raisons encore inconnues, était beaucoup plus massif et avait un plus gros cerveau. Le Cro-Magnon, qui nous a laissé les peintures rupestres de grands animaux dans la grotte de Lascaux, il y a plus de 17 000 ans, furent les Homo sapiens avec les plus gros cerveaux. Ils étaient également plus forts que leurs descendants modernes. Le professeur de psychologie, David Geary de l’Université du Missouri, a déclaré que ces traits étaient nécessaires pour survivre dans un environnement hostile. Il a étudié l’évolution de la taille du crâne de 1,9 million à 10 000 ans où nos ancêtres et cousins ont dû s’adapter à un environnement social de plus en plus complexe. Geary et ses collègues ont utilisé la densité de la population comme une mesure de la complexité sociale, avec l’hypothèse que plus les humains vivent rapprochés, plus les échanges entre le groupe sont importants, ainsi que la division du travail et les interactions riches et variées entre les gens. Ils ont constaté que la taille du cerveau diminuait alors que la densité de population augmentait. Le cerveau est devenu plus petit, car nous n’avons plus besoin d’être aussi intelligent pour rester en vie. Mais la réduction du cerveau ne signifie pas que les modernes humains sont plus bêtes que leurs ancêtres, au contraire, ils ont simplement développé des formes différentes et plus complexes d’intelligence, a déclaré Brian Hare, professeur assistant d’anthropologie à l’Université Duke. Il a noté que le même phénomène peut être observé chez les animaux domestiques, par rapport à leurs homologues sauvages. Ainsi, alors que les Husky, les fameux chiens de traineaux, ont de plus petits cerveaux que les loups, ils sont plus intelligents et plus sophistiqués parce qu’ils peuvent comprendre les gestes de communication de l’homme, adoptant un comportement similaire a des jeunes enfants. Selon Hare Même si les chimpanzés ont un cerveau plus grand que le bonobo, le plus proche par rapport à l’homme, et même si les loups ont un cerveau beaucoup plus grande que les chiens, les chiens sont beaucoup plus sophistiquée, intelligents et flexibles, l’intelligence n’est pas reliée à la taille du cerveau. Il précise que les humains ont des caractéristiques à la fois du bonobo et du chimpanzé, qui est plus agressif et dominateur et termine par J’espère que les bonobos prendront le dessus dans l’esprit humain … ce sera mieux pour tout le monde. En conclusion, je glisse ce tout récent hymne à l’évolution Via l’AFP.
Enphilosophie, on estime que le travail est ce qui permet la transformation de la nature : l'homme produit des objets et transforme le monde autour de lui pour l'adapter à ses besoins. Il crée ainsi des villes. Il change son habitat naturel. Le travail, c'est donc ce qui s'oppose au loisir et au jeu, c'est ce qui permet de transformer le
Objectif Comprendre la notion de travail Points clés Le travail est vu comme un châtiment divin, mais il est aussi garant de l'accomplissement de l'homme et de sa domination sur la nature. Le travail est propre à l'homme. Le travail permet d'être libre et possède une forte valeur sociale. Le travail peut aussi être source d'aliénation et d'exploitation. 1. Le travail est-il punition ou essence même de l'homme ? a. Le travail comme punition Tu travailleras à la sueur de ton front », dans cet extrait de la Genèse, le travail prend la forme d'une ultime punition de Dieu faite à l'homme qui ne pourra plus récolter les fruits de la nature sans effort. Cette conception se retrouve au cœur même de l'étymologie du terme travail » il provient du latin tripalium, qui désigne un instrument de torture. Si dans l’Antiquité grecque le travail s’oppose à l’activité intellectuelle il est réservé aux esclaves, il correspond donc, au sein de la civilisation judéo-chrétienne, à une malédiction divine. b. Le travail comme marque de l'humanité N'est-ce pas par l'effort même que l'homme peut construire son humanité ? Par le travail, nous nous confrontons à la nécessité du réel et nous construisons une activité intelligente pour dominer en partie la nature dont nous faisons partie et la spiritualiser. Kant, dans les Propos de pédagogie ou Réflexions sur l’éducation, 1803, estime que la discipline garde l’homme de s’écarter, par la faute de ses impulsions animales, de sa destination, l’humanité » Introduction. Il estime que le travail fait partie de la discipline IX, 471 ; c’est pourquoi il est, selon lui de la plus haute importance que les enfants apprennent à travailler. L’homme est le seul animal pour qui le travail soit obligation ». c. Existe-t-il un travail dans le monde animal ? Peut-on parler d'un travail dans le monde animal ? Si des analogies sont possibles entre l'activité animale et le travail humain, les différences restent essentielles. Le travail humain est la réalisation d'un projet conscient qui passe nécessairement par une représentation préalable et qui se complète par la recherche et la fabrication d'outils complexes. Réservons donc le terme de travail pour l'action humaine et ne l'appliquons pas au monde animal. 2. Le travail comme médiation et source de liberté a. Le travail comme lieu de contruction de notre liberté Le travail constitue une médiation entre la nature et la culture humaine. Il confère à l'homme le statut d'humain, capable de transformer la nature et ainsi de se transformer lui-même continuellement. Cette dialectique met bien en évidence qu'il n'y a pas de nature humaine, ou plutôt, que s'il y a une nature, elle doit se transformer en une culture. Ainsi l'homme est-il un être à éduquer par le travail. Dans cette transformation de la nature par le travail, l'homme se reconnaît et reconnaît sa propre nature ; il y construit sa liberté. b. Le travail comme médiation Le travail établit ainsi une médiation entre soi et soi-même. Dans La Phénoménologie de l'Esprit, Hegel 1770-1831, dans ce qu’il nomme la dialectique du maître et de l’esclave », souligne que c'est par le travail que l'homme se réalise en tant qu'homme et en tant que conscience libre. Le maître se contente en effet de jouir des choses que l’esclave a produites pour lui, ce qui finalement ne peut le satisfaire. En s'extériorisant, grâce aux objets qu’elle produit dans le réel, la conscience » de l’esclave peut contempler son propre pouvoir au sein même de ce réel C’est par la médiation du travail que la conscience vient à soi-même ». Ainsi l’esclave acquiert-il sa supériorité sur le maître. Il devient, grâce au travail, dit Hegel, le maître du maître », tandis que le maître devient l’ esclave de l’esclave ». La dialectique de la maîtrise et de la servitude se trouve ainsi renversée. c. La valeur sociale du travail Au-delà de ce rôle essentiel du travail, nous pouvons également lui accorder une valeur sociale fondamentale. Médiation entre moi et autrui, entre moi et la société, le travail permet de construire mon identité au sein d'un tissu social complexe. 3. Le travail exploité et aliéné a. L'exploitation de l'homme par le travail la position de Karl Marx Si le travail est l'essence de l'homme et le conduit vers la culture et la liberté, l'exploitation et l'aliénation restent possibles. La division du travail, accentuée par la société industrielle, impose des tâches parcellaires à l'homme qui s'enferme dans une activité déterminée, parfois non choisie. Avec l'apparition du monde ouvrier naît aussi, selon Marx 1818-1883, l'exploitation de l’homme par le travail. Le propriétaire des moyens de production achète la force de travail de l'ouvrier, son énergie physique et nerveuse. Malgré le salaire, une partie du travail de l'ouvrier, la plus-value, n'est pas payée. Par ailleurs, l'homme se trouve devant un produit dans lequel il ne se reconnaît pas et, contrairement à l'artiste, le travailleur voit dans l'objet réalisé une réalité qui lui est radicalement étrangère. Le travail est donc, pour Marx, une aliénation Manuscrits de 1844, lorsqu’il n’est plus une fin, mais uniquement un moyen. Dire que le travail doit demeurer une fin pour l’homme, c’est admettre que le travail fait partie de son essence contrairement à l’animal, l’homme continue de travailler, même si ses besoins sont satisfaits. De fin en soi le travail se transforme en simple moyen lorsque l’homme doit travailler pour subvenir à ses besoins, c’est-à -dire pour survivre On aboutit donc à ce résultat que l’homme le travailleur ne se sent agir librement que dans ses fonctions animales se nourrir, boire, se reproduire, ou encore, au plus, dans son habitation, dans la façon de s’habiller, etc. Ce qui est animal devient humain, ce qui est humain devient animal ». b. Le travail nous détourne des activités les plus nobles la position de Nietzsche Nietzsche a apparemment des considérations similaires, lorsqu’il écrit, dans le § 42 du Gai savoir 1883 et 1887 Se trouver un travail pour avoir un salaire voilà ce qui rend aujourd’hui presque tous les hommes égaux dans les pays civilisés ; pour eux tous le travail est un moyen et non la fin … Or, il y a des hommes rares qui préfèrent périr que de travailler sans plaisir ». Toutefois, Nietzsche critique ouvertement la glorification » ou la bénédiction » du travail Le travail use la force nerveuse dans des proportions extraordinaires, il retire cette force à la réflexion, à la méditation, aux rêves, aux soucis, à l’amour et à la haine, il place toujours devant les yeux un but mesquin et accorde des satisfactions faciles et régulières. » Aurore, § 173, 1881 Le travail nous détourne donc des activités les plus nobles. La société y trouve néanmoins son compte les individus, absorbés par le labeur, ne seront ni imaginatifs ni créatifs ; leur énergie sera consommée par la travail, et elle pourra ainsi jouir d’une plus grande sécurité ». Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours ! Découvrez Maxicours Comment as-tu trouvé ce cours ? Évalue ce cours !
Publiéle 25/05/2022. Être infecté par un parasite nous rendrait plus beau ! Cette observation fascinante a été faite par une équipe internationale de chercheurs. Mais, comment le
Série ES Sujet 1 Y a-t-il des vérités définitives ? Sujet 2 Le travail nous rend-il plus humain ? Sujet 3 Expliquer le texte suivant “Le respect s’applique toujours uniquement aux personnes, jamais aux choses. Les choses peuvent exciter en nous de l’inclination et me?me de l’amour, si ce sont des animaux par exemple des chevaux, des chiens, etc., ou aussi de la crainte, comme la mer, un volcan, une bête féroce, mais jamais du respect. Une chose qui se rapproche beaucoup de ce sentiment, c’est l’admiration et l’admiration comme affection, c’est-à -dire l’étonnement, peut aussi s’appliquer aux choses, aux montagnes qui se perdent dans les nues, à la grandeur, à la multitude et à l’éloignement des corps célestes, à la force et à l’agilité de certains animaux, etc. Mais tout cela n’est point du respect. Un homme peut e?tre aussi pour moi un objet d’amour, de crainte ou d’une admiration qui peut me?me aller jusqu’à l’étonnement et cependant n’être pas pour cela un objet de respect. Son humeur badine1, son courage et sa force, la puissance qu’il a d’après son rang parmi ses semblables, peuvent m’inspirer des sentiments de ce genre, mais il manque toujours encore le respect intérieur à son égard. Fontenelle dit Devant un grand seigneur, je m’incline, mais mon esprit ne s’incline pas. Je puis ajouter Devant un homme de condition inférieure, roturière et commune, en qui je perçois une droiture de caractère portée à un degré que je ne me reconnais pas a? moi-me?me, mon esprit s’incline, que je le veuille ou non, et si haut que j’élève la tête pour ne pas lui laisser oublier ma supériorité.” KANT, Critique de la raison pratique. Série S Sujet 1 Pour agir moralement, faut-il ne pas se soucier de soi ? Sujet 2 La politique est-elle l’affaire de tous ? Sujet 3 Expliquez le texte suivant “Un credo religieux diffère d’une théorie scientifique en ce qu’il prétend exprimer la vérité éternelle et absolument certaine, tandis que la science garde un caractère provisoire elle s’attend à ce que des modifications de ses théories actuelles deviennent tôt ou tard nécessaires, et se rend compte que sa méthode est logiquement incapable d’arriver à une démonstration complète et définitive. Mais, dans une science évoluée, les changements nécessaires ne servent généralement qu’à obtenir une exactitude légèrement plus grande; les vieilles théories restent utilisables quand il s’agit d’approximations grossières, mais ne suffisent plus quand une observation plus minutieuse devient possible. En outre, les inventions techniques issues des vieilles théories continuent à témoigner que celles-ci possédaient un certain degré de vérité pratique, si l’on peut dire. La science nous incite donc à abandonner la recherche de la vérité absolue, et à y substituer ce qu’on peut appeler la vérité technique », qui est le propre de toute théorie permettant de faire des inventions ou de prévoir l’avenir. La vérité technique» est une affaire de degré une théorie est d’autant plus vraie qu’elle donne naissance à un plus grand nombre d’inventions utiles et de prévisions exactes. La connaissance» cesse d’être un miroir mental de l’univers, pour devenir un simple instrument à manipuler la matière.” RUSSELL, Science et religion. La science était donc bien au rendez-vous en série S mais comme sujet-texte! Méfiance !! Série STG Sujet 1 La liberté consiste-t-elle à n’obéir à personne ? Sujet 2 L’expérience est-elle source de vérité ? Sujet 3 “Pour expliquer ce texte, vous répondrez aux questions suivantes, qui sont destinées principalement a? guider votre rédaction. Elles ne sont pas indépendantes les unes des autres et demandent que le texte soit d’abord étudié dans son ensemble. Ce qui est complètement insensé, c’est de considérer comme étant { juste » tout ce qui figure dans les institutions et les lois des peuples, ou me?me, les lois en admettant qu’il en soit ! portées par des tyrans. Si les Trente d’Athènes* avaient eu la volonté d’imposer des lois ou si leurs lois tyranniques avaient plu au peuple athénien tout entier, serait-ce une raison pour les considérer comme justes» ? A aucun titre, je crois, – pas plus que cette loi que porta chez nous un interroi** donnant a? un dictateur le pouvoir de tuer nominativement et sans procès celui des citoyens qu’il voudrait. Il n’y a en effet qu’un droit unique, qui astreint la société humaine et que fonde une Loi unique Loi, qui est la juste raison dans ce qu’elle commande et dans ce qu’elle défend. Qui ignore cette loi est injuste, qu’elle soit écrite quelque part ou non. Mais si la justice n’est que la soumission a? des lois écrites et aux institutions des peuples, et si […] tout se doit mesurer a? l’inte?re?t, celui qui pensera avoir inte?re?t a? me?priser et violer ces lois le fera, s’il le peut. Il en re?sulte qu’il n’y a absolument plus de justice, si celle-ci n’est pas fondée sur la nature, et si la justice établie en vue de l’intérêt est déracinée par un autre intérêt.” CICÉRON * les Trente d’Athènes les Trente Tyrans », gouvernement imposé par Sparte a? la suite de sa victoire sur Athènes 404 avant ** interroi chef exerçant le pouvoir entre deux règnes. Allusion à un épisode de l’histoire romaine. 1. Formulez la thèse de ce texte et montrez comment elle est établie. 2. a En vous appuyant sur les exemples du texte, montrez pourquoi il serait insensé de considérer comme étant juste » tout ce qui figure dans les institutions et les lois des peuples ». b Expliquez une Loi unique Loi, qui est la juste raison dans ce qu’elle commande et dans ce qu’elle défend}. c Expliquez si [… ] tout se doit mesurer à l’intérêt, [… ] il n’y a absolument plus de justice ». 3. La justice est-elle fondée sur la raison?
Aprèscette période d’exploration, dans la deuxième partie du laboratoire nous nous concentrerons sur un thème créatif qui émergera des intérêts du groupe en lien avec la question « Qu’est-ce qui nous rend humain.e.s ? ». Nous développerons ensemble le matériel créatif et trouverons le moyen le plus approprié de le partager avec la communauté à la fin du laboratoire.
Cela non seulement parce que la technique contraint les corps, puisque en somme elle est une force, mais aussi, et peut-être davantage encore, parce que notre esprit, nos pensées, nos désirs sont suscités ou commandés par elle. La facilité dans la vie et le travail, justification essentielle et atout majeur de la technique, ne nous prive-t-elle pas, par exemple, de l'effort essentiel à la constitution de notre être ? Tout travail s'applique à la transformation d'un donné, qu'il soit naturel ou artificiel, c'est pourquoi il est souvent défini comme une activité productive. La notion de production semble toutefois réductrice, car bien des activités y échappent sans qu'on puisse si facilement les exclure de la sphère du travail, pour en faire des jeux ou des loisirs, par exemple la création artistique. L'enseignement ou l'industrie du service en général posent un problème semblable. La technique nous renvoie également à la sphère de la production, où l'élément intellectuel semble prendre une place variable. Il a peut-être plus d'importance aujourd'hui, dans la mesure où techniques et sciences semblent devenir indissociables, mais de multiples tâches sont encore dotées d'un caractère répétitif et peu créatif. En ce sens, sciences et techniques peuvent se distinguer, dans leur fonctionnement, leur nature et leur genèse. Néanmoins, à travers leur développement, l'homme explore un nouveau rapport avec la nature et sa possible transformation, et sur ce plan technique et travail sont solidaires. La technique, moyen d'action, volontiers conquérante, dominatrice, plus efficace que jamais, apparaît aussi comme une source de dangers et de risques, suscite des suspicions, plus ou moins bien fondées, en tant que symbole d'une volonté de puissance qui inquiète.
Lezinc / Discussions générales; CPGE prépa | Fiche de vocabulaire allemand: le corps humain par 10/04/2011 15:19 0 Réponses 979 Vus Dernier message par prepa-HEC.org 10/04/2011 15:19 Le zinc / Discussions générales; Le progrès technique est-il un progrès humain ? par LauRa » 13/03/2004 21:20 3 Réponses 11167 Vus
L'analyse du professeur La question ici posée porte sur le problème de la signification du travail. Ce problème peut être précisé par le rapport particulier qu’entretient l’homme avec la nécessité de travailler. En effet, il semble que le travail n’est pas seulement une nécessité vitale mais permet également à l’homme de développer sa raison. Il s’agit donc de se demander en quel sens le travail est ce qui cultive l’homme, fait de lui ce qu’il a de spécifique parmi les autres animaux. L’enjeu est ainsi de comprendre en quoi le travail entretient un rapport étroit avec la capacité de raisonner et de construire les conditions de l’existence humaine. Le paradoxe de ce sujet consiste donc à remarquer que le travail s’offre à la fois à comprendre comme une contrainte quasi animale, puisque l’homme doit travailler pour produire les conditions de sa survie, et comme un moyen de faire de l’existence quelque chose de proprement humain, c’est-à -dire de transformer le milieu de vie en milieu humain tout en se transformant pour s’adapter à son milieu. ...
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le travail nous rend il plus humain